Collection Rêve Et Réalité. Bonjour Ma SœUr (2/3)

Je viens de monter dans le train pour Bordeaux quand, lorsque je rejoins ma place, je manque de m’éborgner avec la cornette de la bonne sœur qui va être ma voisine.
Rapidement nous sympathisons et je comprends qu’elle s’est mise dans la panade avec ses parents persuadés qu’elle travaille dans un hôtel de haute Savoie.
Je vais chez mes parents retraités qui sont revenus sur leur lieu de naissance après avoir créé un hôtel 5 étoiles dans une station de ski très célèbre.
Mon voyage s’étant décidé grâce a une opportunité, je me sens libre d’aider cette jeune none.
Incroyable, elle m’avoue qu’à un moment de sa vie ses nombreuses turpitudes ont failli l’amener dans le ruisseau.
C’est la persuasion qu’elle faisait fausse route par un curé rencontré dans une boîte de nuit qui l’avait conduite dans ce monastère de haute Savoie où elle a fini par prendre le voile.
Allant au bout de son mensonge, elle veut arriver chez ses parents au bras de son hypothétique fiancé.
Dans une chambre d’hôtel qu’elle avait réservée près de la gare, elle se change laissant sur le lit sa cornette, j’en ressors au bras d’une jolie blonde.
Lorsque je lui fais enlever l’alliance que les sœurs portent les attachements à leur mari du haut, montre une marque blanche qui était à deux doigts de la trahir devant ses parents.
La bague de fiançailles que je vais lui acheter et que je lui offre réglementairement un genou au sol, peut-elle être considéré comme un véritable engagement ?
Le regard amusé du chauffeur de taxi qui me voit faire ce geste à quelques mètres de lui pourrait me dire « non », mais l’émotion et surtout le baiser que je soutire à Adeline me fait penser que « oui » !

Après avoir passé le pont sur la Garonne, nous nous retrouvons dans le quartier de la Bastide ou ses parents ont leur maison.

• Charles, les voilà, mon dieu que vous êtes bel homme, ma fille a bien choisi !
• Hélène arrête tu vas ce jeune homme avant même qu’il épouse notre fille.


Je vois ce diamant qu’Adeline a à son annulaire preuve de l’amour de...
• Adrien, Charles, Adeline aurait-elle oublié de vous donner mon nom ?
Pardon, je t’ai tutoyé Charles.
• Fait Adrien, j’ai toujours rêvé d'avoir un fils.
Ma femme à part sa fille est restée sèche à mes demandes.

Adeline se penche à mon oreille.

• Où vas-tu, je te rappelle que tu es là pour jouer mon fiancé, dès la fin de ce week-end, je remets mon alliance et toi tu rejoins tes parents.

Elle se penche, j’att sa nuque et je lui subtilise un palot de chez palot.

• Les s, il y a des voisins, prévenez-moi, je vais mettre le carré blanc.
Entrons, nous allons prendre l’apéro avant le barbecue que j’ai préparé.
• Adeline, tu vois, comment il est, le docteur lui a demandé de se calmer et depuis il redouble d’ardeur.
• Si je dois casser ma pipe, avant je veux vivre un maximum de choses, même si ta chatte est sèche depuis deux ans.

Là je me sens mal à l’aise, mais nous rentrons.
À l’hôtel Adeline voulait que je laisse ma valise, comme pour la bague, je lui ai fait remarquer qu’il y aurait un loup à arriver les mains vides ma valise laissée dans la consigne de la gare du TGV.
En plus de la bague, j’ai acheté un gros bouquet de fleurs que je protège de la fougue d’Hélène lorsqu’elle me sert sur son sein bien volumineux.
La façon dont ils nous reçoivent, je suis un chanceux, même si moi aussi j’ai menti sur mon soi-disant licenciement et mon chômage.

• Adeline conduit Adrien dans ta chambre pour y déposer vos affaires, tu verras, ton père t’a fait une surprise, ça a failli lui coûter la vie.

La maison est de plain-pied, nous passons dans un couloir et Adeline sentant certainement la situation lui échapper, le regard qu’elle me montre le faisant penser, ouvre une porte.

• Ma chérie, quand ton père a su que tu avais un fiancé, il a voulu se rattr de la manière dont il t’avait traitée il y a quelques années.

Mais tu préfères peut-être éviter de parler de cette période de ta vie où tu étais en conflit avec lui.
• Parlez franchement Hélène, Adeline m’a mis au courant de sa jeunesse tumultueuse s’étant terminée lorsqu’elle est partie en haute Savoie comme réceptionniste dans un hôtel.
D’ailleurs, c’est là que nous sommes rencontrés, un jour où je me suis trompé d’hôtel.
J’ignore si vous avez déjà ressenti ce qui s’appelle le coup de foudre, ça a été le cas pour nous.
• Le coup de foudre on a connu ça dans notre jeunesse, comme Charles pour notre voisine il y a quelques mois.
• J’ai fait une erreur après bien des années de mariage, depuis je dois faire un nœud à mon mouchoir malgré toutes les excuses que je t’ai présentées.
• Tu le savais, un pas de travers et tu pouvais aller te brosser pour que je continue à faire l’amour avec toi.

Adeline et moi, nous nous sentons légèrement mal à l’aise au milieu de ce couple qui se déchire.
Il est facile de comprendre que Charles a dû sauter la voisine et que sa femme l’a surprise.
Au lieu de se séparer, Hélène ayant certainement trop à perdre, il préfère vivre une vie de merde et de conflit.

• Regarde, ton père a refait toute ta chambre pour que vous puissiez y dormir tous les deux.
C’est là qu’il a fait son malaise.
• Arrête avec mon malaise, je suis en pleine forme et je suis prêt à te le démontrer dès que tu me permettras de retrouver ta couche.
J’ai tout démonté, j’ai mis un lit à deux places.
Nous savons que les jeunes et la religion qui gérait notre jeunesse, ça fait deux.
De notre temps aussi, nous transgressions les principes de nos parents, mais nous étions obligés de nous marier rapidement, car pour les filles les protections étaient dures à obtenir.
Nous nous servions de capote, mais souvent de mauvaise qualité, tu en es la preuve Adeline, j’en avais une qui a craqué.

Oui, pépère, épanche-toi.

• J’ai aussi cassé la cloison avec le petit cagibi qui était à côté, je vous ai fait une salle de bains avec une douche au sol.

J’aurais voulu mettre une baignoire, mais la place manquait.
• Aucun problème, Charles, vous savez quand on est jeune, toute situation, même insolite, est un terrain de jeu favorable pour un jeune couple amoureux.
• Un jeune couple, si vous saviez, même les vieux arrivent à baiser des jeunettes sur la machine à laver dans la buanderie.
• Ma douce, ils sont partis, Serge a divorcé lorsqu’il a su ce que j’avais fait à sa femme.
Elle aussi est retournée chez sa mère.

J’ai envie de rire et je vois qu’Adeline aussi, ils sont touchants, on sent bien qu’il s’aime toujours.
Nous entrons et ils nous laissent.

• Tu en fais trop Adrien, tu dois simplement te tenir à mes côtés, j’ai l’impression que tu essayes de séduire mes parents.
• Veux-tu que nous prenions une douche, ton père l’a préparée pour nous ?
• Je croyais avoir trouvé un gentleman, je vois que j’ai trouvé un obsédé de la quéquette.
• Au peu que tu m’as dit de ta jeunesse tumultueuse confirmée par ton père tout à l’heure, qui de nous deux est un ou une obsédée ?
Vouloir baiser dans les toilettes d’une boîte de nuit avec un curé, c’est mieux que de prendre une douche avec son petit ami.
Je te fais marcher, Adeline, je me retourne et tu vas te doucher, j’irai après, dès que tu seras de nouveau présentable.

Je m’exécute, mais j’ai une petite idée derrière la tête.
J’entends l’eau couler, j’attends deux minutes et j’ôte rapidement mes fringues.
La douche est sans porte, je me glisse derrière elle et je colle ma verge à ses fesses.
Je m’attends à une baffe, mais ce sont ses seins qui viennent se plaquer contre ma poitrine.
Ses bras m’enlacent et nos bouches se trouvent.
C’est debout que j’entre facilement en elle, une fraction de seconde l’idée arrive à mon cerveau que je baise une bonne sœur, mais j’oublie, car c’est par coup de foudre que je fais l’amour à Adeline.

Que dire du week-end ?
Divin.

Dès le premier soir nous faisons honneur à la chambre et au lit deux places.
Plus aucune résistance d’Adeline pour ce qu’elle était avant notre rencontre dans le train.
Tout à une fin, nous quittons ses parents qui ce sont dans les bras l’un de l’autre que nous retrouvons l’hôtel et la cornette.
Nous sentons que l’amour que nous affichons et une petite explication avec Hélène de ma part lui demandant de savoir pardonner, nous permet de quitter mes beaux-parents sereinement.
Nous nous retrouvons dans la chambre près de la gare où nous faisons une nouvelle fois l’amour la cornette posée près de nous.
Lorsque je l’aide à mettre ses habits de nones dans un sac, même si elle est devenue inutile, je m’arrange quand même pour l’emmener avec nous dans le TGV.

• Tu m’emmènes chez toi, je vais écrire à la mère supérieure que je quitte le couvent.
• Moi aussi, j’ai une surprise, je t’ai un peu menti en te disant que j’étais au chômage.
Je t’emmène chez moi où se trouve mon lieu de travail, soit patiente, tu vas tout découvrir.

Dans la voiture qui m’attendait à la gare conduit par mon chauffeur, nous rejoignons le lieu que je veux lui faire découvrir.

• Que se passe-t-il, tu me ramènes à mon couvent ?...

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